Mon histoire de couche et de propreté

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il y a 5 ans

Que l'homme puisse rester à un certain degré de formation à la propreté, cela était expliqué à tous à travers le livre " LE TAMBOUR EN FER BLANC " et dans son adaptation cinématographique. Semblable au héros du roman OSCAR, du moins en ce qui concerne les excrétions corporelles, je suis resté au stade de formation d'un bébé.

Je me souviens encore très bien que mes parents ont à de multiples reprises gaspillé des années pour me rendre propre sans que seulement la plus petite tentative de leur part ou du médecin consulté en renfort, n'aboutissent à quelque chose. C'est pourquoi, lorsque j'eus 12 ans, mes parents renoncèrent à toute tentative dans ce sens. J'ai conservé depuis mon e n f a n c e  la merveilleuse sensation de vivre dans les couches et les couches-culottes, de pouvoir jouer à travers le caoutchouc de la couche-culotte, avec ma grosse commission et aussi avec mon petit oiseau, et d’éprouver dans le pipi chaud et le popo chaud, la sensation de sécurité procurée par culotte en caoutchouc.

A peine ma mère m'avait elle de nouveau enveloppé dans les couches avec une couche culotte en caoutchouc que je fis pipi et caca dans le paquet avec une très grande joie. Déjà de très bonne heure, je me masturbais pendant que mon petit oiseau nageait dans le chaud pipi et il n'était jamais disposé à se priver de ces sensations positives supérieures à toutes autres. Cela fut d'abord difficile, lorsque venant au jardin d'e n f a n t s, les autres se moquaient de ce que je faisais toujours dans ma culotte alors qu'ils étaient propres. Pour moi les filles et les garçons étaient tous des idiots car je ne comprenais pas comment on pouvait renoncer volontairement aux couches et culottes en caoutchouc et même ne pas en être fier. A l'école ce fut encore pire avec les humiliations.

A cause de l'épais paquet de couches et de la couche-culotte en caoutchouc, mon derrière était très bien mis en relief et c’est ainsi que j'eus rapidement mon surnom. " Le cul de canard ", m'appelèrent irrespectueusement les garçons de ma classe. Mais cela ne servait à rien, car étant le meilleur élève, je les aidais souvent dans leur travail scolaire.

A cette époque là, j'aurais finalement renoncé à mes couches et culottes en caoutchouc, mais déjà plus rien n'allait, je n’avais jamais appris à contrôler mes sphincters et de plus la masturbation à la fin de l'école dans ma culotte en caoutchouc bien pleine me compensait de toutes les humiliations essuyées pendant les heures de classe. Je grandis lentement et mes couches et culottes en caoutchouc avec. Entre-temps celles-ci étaient achetées dans un magasin d'hygiène, car celles pour grand e n f a n t  ne m'allaient plus. Mes camarades de classe avaient leurs premières amourettes avec les filles et moi aussi je m'y intéressais lentement mais sûrement pas pour l'autre sexe, je cherchais la chaleur la sûreté, mais jamais la sexualité auprès des filles.

Les filles de mon âge me paraissaient trop puériles et je me tournai vers des filles plus âgées. Une amitié dura même de ma dixième à ma treizième année Hilde, ainsi se nommait mon élue, avait 4 ans de plus que moi. et elle ne se souciait guère que je porte des couches et une culotte en caoutchouc. A l'occasion elle trouvait même cela amusant, car elle se souvenait qu'elle aussi avait pendant longtemps rempli comme un bébé ses couches et couches-culottes. Je me souviens encore très bien que j'avais demandé un jour à Hilde de me retirer ma culotte en caoutchouc et de me laver. Mais elle ne l'avait pas accepté. Toutefois je ne désarmai pas car j'avais remarqué que Hilde regardait mes couches et culottes en caoutchouc avec un certain intérêt. Je me rendis seul au magasin d'articles d'hygiène où j'étais toujours allé avec ma mère quand il me fallait une culotte neuve et la vendeuse me reconnut aussitôt

-" Par exemple ! Tout seul aujourd'hui ? " Me demanda-t'elle gentiment et je lui expliquai que ma mère n'avait pas eu le temps aujourd'hui de m'accompagner.

-" Tu as besoin d'une culotte en caoutchouc ? " Demanda t'elle alors et comme j'acquiesçais, elle tira un tiroir et étala sur le comptoir environ une dizaine de culottes en caoutchouc différentes.

-" Aujourd'hui tu peux choisir. " Dit-elle et lorsque je les vis toutes sur le comptoir, je ressentis tout à coup une sensation de chaleur dans le bas du ventre, car aujourd'hui la culotte en caoutchouc n'était pas pour moi mais pour Hilde. Elles étaient toutes différentes. Certaines étaient entièrement en caoutchouc, certaines étaient doublées entièrement de tissu, d'autres avaient à l'intérieur un poche pour mettre les couches et quelques unes étaient même ouvrantes comme les vraies culottes de bébé. Il y avait des couches-culottes transparentes, des culottes en caoutchouc blanc et d'autres qui me plaisaient surtout : des culottes en caoutchouc rose avec des ruches aux élastiques des cuisses et de la ceinture.

Dans celle culotte il y avait aussi à l'intérieur une poche en caoutchouc et comme par une pression interne, je choisis une de celles-là pour Hilde. Secrètement, j'avais compté l'argent prélevé dans ma tirelire et j'étais arrivé à la somme considérable de 48 DM. Comme j'avais justement sorti l'argent de ma poche, la vendeuse qui pendant ce temps tait entretenue avec une cliente sur une ceinture de grossesse, revint vers moi. Je lui montrai la culotte en caoutchouc rose et elle me dit :

-" Là, tu as choisi la culotte la meilleure mais la plus chère ! " Elle regarda dans la ceinture de la culotte et me demanda alors :

-" Dis moi ! La taille est un 36. N'est-elle pas un peu trop grande pour toi ? " Je secouai silencieusement la tête, car j'avais honte d'avouer à la vendeuse que la culotte n'était pas pour moi, mais pour une imaginaire Hilde.

-" Dois-je l'emballer ou veux-tu déjà l'enfiler ici dans le magasin ? " Me demanda-t'elle et je lui répondis qu'elle devait l'emballer surtout dans un beau paquet.

-"  On pourrait croire que c'est pour offrir. " Dit-elle en riant et je sentis le s a n g  me monter à la tête. La vendeuse avait touché juste avec sa réflexion dite certainement pas sérieusement. Elle emballa soigneusement la culotte en caoutchouc rose me tendit le paquet et me dit :

-" Ca fait 18 DM. jeune homme ! " A ce moment j'eus le diable au corps. Je calculai rapidement et j'en conclus que j'avais suffisamment pour deux culottes.

-" S'il vous plait ! Donnez-moi encore une culotte en caoutchouc rose dans ma taille. " Dis-je de nouveau le rouge au visage.

-" Mais bien volontiers ! " Dit la vendeuse et elle chercha dans le tiroir une deuxième culotte appropriée à ma taille.

-" Dois je aussi l'emballer ? " J'acquiesçai de nouveau. Quelques minutes plus tard, mes deux culottes en caoutchouc emballées à la main, j'achetais avec l'argent restant un paquet de couches en cellulose très absorbantes et quittai, heureux, le magasin. Je ne me rendis pas à la maison, mais aller chercher Hilde chez ses parents. Je sonnai à la porte et la maman de Hilde qui me connaissait bien, vint ouvrir.

-" Hello ! " Dit-elle. " Tu veux sûrement voir Hilde. Montes donc, elle est dans sa chambre. " Je montai rapidement les escaliers et frappai à la porte de la chambre de jeune fille de Hilde.

-" Entres ! " Me cria t'elle d'une voix bienveillante. " Que m'apportes tu donc ? Ce n'est pourtant pas mon anniversaire ! " Dit Hilde qui avait remarqué aussitôt le paquet sous mon bras.

-" Bien sur. " Bredouillai-je, un peu embarrassé. " Je t'ai apporté quelque chose que tu essaieras au moins une fois, je l'espère ! "

A ces mots je pressai dans les mains de Hilde le paquet qui lui était destiné. Hilde s'assit sur le lit et ouvrit le paquet mettant à jour la culotte en caoutchouc rose que je lui avais choisie. Elle hocha la tête et caressa tendrement de la main le caoutchouc moelleux.

-" Il est vraiment sensationnel et aussi doux au toucher ! " Dit-elle d'une façon décontractée. A ce moment je déballai la deuxième culotte achetée pour moi.

-" Mais c'est le pied ! " Dit-elle. " Tu as pour toi la même culotte en caoutchouc ! "

-" Pas seulement ça. " Lui répondis-je. " J'ai aussi apporté les couches qui vont avec. "

A ces mots je tirai du paquet deux couches en cellulose et les tendit à Hilde. -" Et tu as acheté tout ça pour moi ? " Hilde se tenait devant moi comme si j'étais le Père Noël. -" Ne voudrais tu pas l'essayer au moins une fois ? " Pressai-je Hilde et j' attendis sa réaction. -" Ah, je ne sais pas. " Dit-elle. " Je trouve la culotte en caoutchouc rose très jolie mais que dois-je faire des couches ? " -" Eh bien, les mettre ! " Lui répondis-je le plus naturellement du monde. Je faisais perpétuellement et avec joie dans ma culotte en caoutchouc et Hilde trouverait sûrement cela aussi très agréable. -" Et tu penses que je dois aussi faire pipi dans la culotte en caoutchouc et ne plus aller aux W.C. ? Mais ça sent mauvais ! " -" Ce n'est pas vrai du tout ! "Lui dis-je un peu vexé. " Je porte en ce moment une culotte en caoutchouc et j'ai déjà fait deux fois dedans. Et tu n'as rien senti. " Hilde s'approcha de moi. -" Non, tu as raison, je ne sens rien ! " -" Alors tu peux y aller, oui ou non ? "

Hilde était assez gênée :

-" Je veux bien essayer, mais seulement une fois. "

J'étais aux anges et aidai Hilde à bien mettre les couches car j'avais là dessus beaucoup plus d'expérience. Je lui mis correctement l'épais paquet de couches et son derrière sembla beaucoup moins énorme avec sa culotte en caoutchouc. Toutefois Hilde ne fut pas de mon avis, car lorsqu'elle se regarda dans la glace de sa chambre, elle voulut aussitôt retirer la couche-culotte :

-" Que dois je mettre maintenant par dessus ? La culotte est si épaisse que tout le monde peut la voir ! "

Pour moi je m’étais habitué depuis longtemps à mon derrière épais et les regards des gens ne me gênaient plus. Mais pour Hilde, ça semblait être un véritable problème. Je lui proposai donc de venir avec moi à la maison, mes parents n’étant pas là, elle pourrait se familiariser avec ses couches. Est-ce donc une chose si vicieuse qu'un homme aime faire dans ses couches et se masturbe ensuite ? Comme ce serait merveilleux de faire ensemble, Hilde et moi, dans nos couches, de nous caresser ensuite mutuellement et de faire l'amour.

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